La tendance « no gender », née il y a quelques années, trouve son prolongement dans le mouvement « gender fluid », qui prône une identité changeante, plurielle.
Selon un sondage YouGov pour l’Obs, 14% des 18-44 ans ne se retrouvent pas complètement dans cette binarité, se considérant ainsi comme « non binaires », estimant n’avoir plus besoin des étiquettes homme et femme pour se définir, et voient la remise en cause de la binarité de genre comme « une question d’égalité ».
Comment comprendre cette lutte identitaire qui s’inscrit dans un mouvement beaucoup plus large ? Liée à une nouvelle culture de la modernité, à une culture de l’autonomie et de toutes les subjectivités, elle est l’occasion de se demander ce qui fonde le masculin et le féminin, d’interroger les représentations, les stéréotypes, les frontières entre la masculinité et la féminité.
Au-delà d’un changement sociétal, cette mutation profonde investit plusieurs industries et les marques doivent désormais se familiariser avec les nouveaux idéaux identitaires et la représentation du genre.
Il s’agit donc de comprendre l’importance, pour la GenZ notamment, du passage vers un avenir tout en fluidité. La personnalité et l’identité comptent davantage que le sexe. Les valeurs et les modes de vie passent au premier plan, faisant de valeurs telles que l’individualité et de l’authenticité de véritables leviers pour les marques.
Notre rapport « The Gender Fluidity” décrypte cette tendance et cette opportunité pour les marques de se connecter avec ces nouvelles générations qu’elles ont tant de mal à saisir.
A la demande de nos clients, nous adaptons ce rapport selon les secteurs d’activités : Retail, luxe, cosmétiques, banques, restauration, hôtellerie, tourisme, et incluons des recommandations personnalisées.